PHANTOM

PHANTOM
visions nocturnes: PHANTOM

lundi 12 décembre 2011

ce qui...

ce matin, j’ai pensé jeter toutes ces rayures qui brulaient ma peau, brouillon de chaire, mon corps se pause en discontinu. depuis que je suis venu, depuis le temps que j’ai déchiré ce brouillon, mais que penser à travers ces foules qui me poussent et rient de me voir m’enfoncer dans le vide. et je m’ennuie, révant trouver un placebo dans ce sentiment qui me tend les bras, m’attirant dans sa folie, me laissant perdre pied, diable que l’eau devient trouble! j’y trouve cet élixir, parfum de non retour, l’amour périt et perd de mes envies. plus de rêves mais simplement quelques attentes pour rendre hommage à l’histoire qui me mord le sang, à la dérive qui me prend, qui saigne mon temps. je marche sur cette ligne que retient quelques points, points d’être moi-même. ce matin, j’ai décidé garder dans mes les épines de cette rose au coeur perdu, tentant garder ce cher souvenir à travers la douleur qui me reste. je cherche ce placebo à travers ce sentiment qui m’enveloppe, lui-même trainant ses chaines, à temps avant que je ne réalise que l’inconscience fait naufrage et me laisse m’enfoncer à travers l’orage. parce que dans ma tête, il y a quelques clacs, ce sont les genres qui dérapent, l’amour qui se froisse enveloppé de la mort qui se gondole. les genres se lassent, les anges passent et je goûte à ces eaux, dieu! qu’elles me semblent lourdes et se troublent encore et plus. les anges passent, dieu trepasse et diable! j’en passe.

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